Les principaux acteurs du Projet de gestion intégrée de la sécheresse en Afrique de l’Ouest (PROGISAO) ont tenu les 12 et 13 décembre 2016 à Ouagadougou une rencontre. Objectif : faire le bilan des actions mises en œuvre en 2016 et envisager celles de 2017.
Effectuer le bilan de la seconde année de mise en œuvre du PROGISAO afin d’en ressortir des éléments de base pour des actions de recherche de financement. C’est l’objectif global de la mini rencontre du Projet de gestion intégrée de la sécheresse en Afrique de l’Ouest (PROGISAO) tenue les 12 et 13 décembre 2016 à Ouagadougou.
La rencontre a réuni entre autres des responsables de la coordination du PROGIS/AO ; des responsables des partenariats nationaux de l’eau des 3 pays concernés (Burkina Faso, Mali et Niger) et des représentants des structures membres du groupe noyau de la plateforme régionale : CILSS, CCRE/CEDEAO, UEMOA, ABV, UICN, WASCAL, 2IE, UO2, PANGIRE.
Ainsi, l’on notait la présence de Dam Mogbanté secrétaire exécutif du Partenariat régional de l’eau de l’Afrique de l’Ouest (GWP/AO) ; de Félicité Vodounhessi Chabi-Gonni, chargée de PROGIS/AO ; de Bourama Traoré, secrétaire exécutif du Partenariat national de l’eau du Mali ; de Padji Garba, secrétaire permanent du Partenariat national de l’eau du Niger ; de Leila Zerbo/Sambaré, secrétaire exécutif du Partenariat national de l’eau du Burkina Faso et de Sidi Coulibaly, communicateur du GWP/AO, etc.
Les deux jours de travaux ont permis aux participants de faire le bilan des actions mises en œuvre au niveau des 3 pays (Burkina, Mali, Niger) et au régional. La rencontre a également permis de planifier des projets pour 2017 et de réfléchir à des actions concrètes de recherche de financement pour les projets planifiés.
Le projet de plateforme virtuelle progresse
La présente rencontre a par ailleurs été l’occasion de faire la présentation de la plateforme virtuelle en cours de développement du PROGIS/AO. De la présentation faite par Salifou Déné, concepteur de systèmes numériques et Doctorant à l’Université de Nairobi, l’on note que le projet progresse et devrait une fois achevé favoriser le stockage des données, la gestion des connaissances, le partage d’information, la formation en ligne. La présentation a permis aux uns et aux autres de s’imprégner davantage du projet, ses objectifs et les défis à relever par les acteurs pour rendre la plateforme pleinement opérationnelle.
Grégoire B. Bazié
Burkina Demain