Aux environs de 20 h, des coups de feu ont été tirés sur l’Avenue Kwame Nkrumah. Rapidement, la nouvelle a fait le tour de la capitale, faisant penser à une nouvelle attaque terroriste après celles meurtrières du 13 août dernier ou du 15 janvier 2016. Finalement, il n’en est rien, même si l’origine de ces tirs n’était pas identifiée. Occasion pour le ministre de la sécurité Simon Compaoré qui s’était rendu sur place pour prendre le pouls de la situation, de rassurer, d’appeler à la vigilance et à la collaboration les populations en cas de mouvements ou individus suspects dans la zone.
La question alimentait encore ce matin les commentaires dans les kiosques, beaucoup se demandant pourquoi la presse n’en parlait pas. Il s’agit des coups de feu entendus sur l’avenue Kwame Nkrumah dans cette soirée du dimanche 19 novembre qui ont fait penser à une autre attaque terroriste. Mais, il n’en est rien. Sur l’origine de ces tirs mystérieux, certaines sources évoquent l’hypothèse de tirs de sommation suite au passage d’un véhicule qui a refusé de s’arrêter à un poste de contrôle policier. Tout cela reste difficile à vérifier. Mais, heureusement, que l’on ne déplore aucune victimes ou blessé. Occasion pour le ministre de la sécurité Simon Compaoré qui s’était rendu sur place pour prendre le pouls de la situation, de rassurer, d’appeler à la vigilance et à la collaboration les populations en cas de mouvements ou individus suspects dans la zone.
Burkina Demain