Le président Donald Trump à sa prestation de serment le 20 janvier 2017

20 janvier 2017 -20 janvier 2018. Demain cela fera exactement un an, jour pour jour, que le Républicain Donald Trump, a prêté serment comme 45e président des Etats-Unis d’Amérique, à la suite du Démocrate Barack Hussein Obama. Que retenir de ces 12 premiers mois de la présidence Trump ?

Le président Donald Trump à sa prestation de serment le 20 janvier 2017

Le moins que l’on puisse, c’est que le président Donald Trump s’est évertué au cours de ces 12 premiers mois à la Maison Blanche de tenir ses engagements de campagne. A son investiture, il avait donné le ton en indiquant qu’il allait privilégier avant tout les intérêts de son pays :«L’Amérique d’abord ».

Et cela a été une constance dans son action au cours de cette première année de présidence. Ainsi, à peine une semaine à la Maison Blanche, il prend un décret controversé interdisant ou limitant l’entrée aux États-Unis des ressortissants de pays pour la plupart musulmans.

A l’ONU, les Etats Unis affichent rapidement leurs intentions de réduire leur contribution au budget de fonctionnement ou des opérations de maintien de la paix de l’organisation. Les porteurs de la force G5 Sahel en savent quelque chose. Dans sa stratégie de défendre les intérêts de son pays, Trump va annoncer le retrait des Etats-unis de l’Accord de Paris sur le climat.

L’autre moment fort de l’An I de la présidence Trump a été la reconnaissance de Jérusalem comme la capitale d’Israël au grand dam des Palestiniens et de leurs soutiens.

En Syrie, les autorités et leur allié russe sont loin d’avoir oublié les frappes américaines du 6 avril 2017 qui ont fait des morts dans les rangs de l’armée du pays.

En Afrique, les propos «pays de merde » de Donald Trump reste encore vivaces dans les esprits. Mais, vu d’Afrique, tout n’est pas peindre en noir sous ces 12 premiers mois de Trump. Power Africa, ce programme d’électrification de l’Afrique est maintenu, tout comme les programmes MCA, en Burkina Faso, en Côte d’Ivoire ou Bénin, pour ne citer que ces pays. Il y a aussi la loi AGOA et les autres programmes gouvernementaux qui restent des acquis.

Victor Bassolé /New York

Burkina Demain

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