Au Conseil supérieur de la communication (CSC), les activités vont en principe devoir reprendre. La nouvelle équipe des conseillers que préside Mathias Tankoano, a prêté serment ce vendredi août au Conseil constitutionnel.
Cela a déjà été dit. La tâche des nouveaux responsables du Conseil supérieur de la communication (CSC) s’annonce ardue, au regard de la profonde crise que l’institution a traversée ces dernières années. Et si la fièvre des activismes politico-médiatiques consécutifs à l’adoption du nouveau électoral ne retombe pas vite, l’équipe Tankoano pourrait même être amenée à mouiller le maillot avant 2020, date cruciale pour les échéances présidentielles et législatives.
En tous les cas, les membres du nouveau collège des conseillers que sont Séni Dabo, Aziz Bamogo, Alexis Konkobo, Victor Sanou, Mathias Tankoano, Jeanne Coulibaly et autres, ont prêté serment ce vendredi même au conseil constitutionnel. Désormais, c’est à eux de montrer qu’ils sont à la hauteur de la mission qui leur a été confiée. «Impossible n’est pas Burkinabè», dit-on.
Burkina Demain