La Banque mondiale Burkina Faso a organisé en collaboration avec l’Association des bloggeurs du Burkina (ABB) une vidéoconférence ce 17 octobre 2018 à Ouagadougou, sur la problématique de la pauvreté au sein de la jeunesse.
50 millions d’enfants ne sont pas scolarisés. Et même quand ils sont scolarisés, ils n’arrivent pas à avoir accès à une éducation de qualité. Ce qui les empêche de pouvoir travailler dans le monde aujourd’hui, a indiqué le vice-président de la Banque mondiale, Hafez Ghanem. Le vice-président Ghanem a en effet animé ce mercredi 17 octobre 2018 une vidéoconférence depuis Washington à l’occasion de la commémoration de la journée internationale pour l’éliminatoire de la pauvreté organisée par la Banque mondiale.
Des jeunes de 27 pays ont participé à cette plateforme d’échanges via les technologies de l’information et de la communication, concernés qu’ils étaient par la thématique de la journée. A savoir «La jeunesse africaine et les emplois de demain ».
Pour Hafez Ghanem, pour réduire la pauvreté de manière considérable, il faut permettre aux jeunes de travailler dans la technologie comme l’utilisation des star-up, assurant que c’est dans l’économie numérique qu’il y a beaucoup d’emplois. Par conséquent, il faut permettre aux jeunes d’y évoluer.
Autre conviction du vice-président, la Banque mondiale doit plus investir dans les populations : éduction, santé. Car, ce sont ces populations qui permettent à l’économie d’accroître, ainsi qu’au gouvernement d’avancer.
Nicolas Bazié
Burkina Demain