Le représentant-résident de la Banque mondiale au Burkina, Cheick F. Kanté, s’est entretenu ce vendredi 23 novembre avec les journalistes s’intéressant aux questions de développement et avec lesquels son institution collabore. Le nouveau Cadre de partenariat (CPF) 2018-2023 de la Banque mondiale a polarisé ces échanges du représentant résident avec les hommes de médias.
Le premier responsable de la représentation nationale de la Banque mondiale a tenu ce vendredi 23 novembre 2018, à Ouagadougou, une réunion avec les journalistes avec lesquels son institution collabore sur les questions de développement. Occasion pour Cheick F. Kanté, représentant résident, et ses plus proches collaborateurs, d’échanger sur le nouveau Cadre de partenariat (CPF) 2018-2023 de la Banque mondiale.
Ce nouveau cadre, a indiqué M. Kanté, est aligné, pour ce qui est du Burkina Faso, sur le Plan national de développement économique et social (PNDES). Au-delà du Burkina, le portefeuille dont il a été question concerne trois autres pays de la sous-région à savoir la Côte d’Ivoire, le Bénin et le Togo. Ainsi, en termes d’allocations de fonds, la Côte d’Ivoire avec 2 133,73 dollars devance légèrement le Burkina Faso ; crédité de 2 .116, 71 dollars, suivi du Bénin et du Togo.
A l’entendre, les quatre pays regroupent au total 64 projets nationaux d’un montant total de 4.773.38 , 20 projets- sous régionaux d’une valeur de 617.80 et enfin 9 fonds fudiciaires d’un montant de 94.97.
Il va continuer en indiquant que 39 opérations, c’est-à-dire 74 opérations IDA, 7 opérations sous régionales, 8 fonds fudiciaires sont en cours. Le montant global de ces opérations s’élève à 2,17 milliards de dollars, soit 1 085 milliards de Francs CFA.
Jean Konombo
Burkina Demain