Des descentes parlementaires, un moment de restitution de différentes décisions prises par les élus à l’’Hémicycle et d’échanges avec leurs mandants. L’honorable Antoinette Tiélé Gambia Ollou, l’élue de la 1ère circonscription de Djiri n’a pas dérogé à la règle.
L’élue de Djiri 1 a renoué avec les habitants de sa circonscription électorale. Un exercice qui met en relief la proximité et le vivre ensemble dans la façon de faire et d’agir de la représentante de Djiri 1 à l’Assemblée Nationale.
Antoinette Tiélé Gambia Ollou est considérée aux yeux de ses mandants comme une élue nationale plus « proche et accessible. » En ce sens qu’elle se fait la porte-parole de cette exigence. « Nous, citoyens, souhaitons que notre élue se consacre, pleinement à son mandat. » a déclaré Mme Yvonne Moké. Quant à Louis Elingabato, habitant Djiri, trouve en cette dame députée du Parti Congolais du Travail, « comme une « mère en action et à l’écoute de ses enfants. »
Or, la vitalité de la démocratie et le renforcement du pacte républicain dans un Etat comme le Congo passent par le rapprochement indispensable du peuple avec leurs représentants. Cette dimension, Antoinette Tiélé Gambia l’expérimente au quotidien pour resserrer les liens entre elle et le citoyen en faisant de sorte qu’elle se consacre pleinement à sa fonction élective.
Usant de cette politique, elle ne manque pas de raffermir ce lien qui existe entre elle et ses mandants, qui lui ont fait confiance et continuent à lui faire confiance pour rendre compte des conclusions des sessions ordinaires administratives ou budgétaires de l’Assemblée Nationale.
Des rencontres permanentes entre mandants et mandaté qui permettent de prendre le pouls de sa circonscription, de recueillir les doléances et d’en faire échos à l’hémicycle. A cela s’ajoutent les rencontres citoyennes ou causeries débat sur les problématiques touchant le social des populations, sans occulter le porte-à-porte. Tout ceci pour recueillir les préoccupations de ses électeurs.
C’est ce qui a permis, par exemple, d’être au parfum de la situation d’insécurité de l’école Bernadette, construite grâce à son investissement en tant que députée de ladite circonscription. Le remède apporté à cette situation d’insécurité c’est la construction du mur de clôture pour sécuriser les écoliers. Sur ce même registre, on peut citer la construction d’un hôpital général dans la localité dont les travaux sont en cours, le traitement du ravin d’Emeraude, l’emploi et l’encadrement des jeunes… Tout un recueil des solutions aux problèmes rencontrés par ces populations que l’élue de Djiri 1 s’investit à apporter.
C’est autant dire qu’Antoinette Tiélé Gambia Ollou, dans sa peau de femme de cœur, mesure l’importance de revenir dans sa circonscription après une session à l’Assemblée nationale pour consacrer le temps à être dans sa permanence, sur le terrain afin de vivre tout simplement comme les électeurs de sa circonscription. D’aller chercher ses enfants ou ses petits-enfants à l’école, à vivre normalement comme une citoyenne vit. C’est dans ce contexte que le lien avec la réalité locale sera non seulement maintenu mais, bien plus, renforcé.
A l’évidence l’élue de Djiri 1 marque son adhésion pour la proximité renforcée, qu’est synonyme de l’identité sociale entre elle et les citoyens. C’est un excès d’altérité entre représentante et représentés qu’il s’agit de conjurer.
Wilfrid Lawilla/Brazzaville
Burkina Demain
