Dans le cadre des finales de la neuvième édition du Tournoi de la solidarité féminine du Sanguié disputées ce samedi 15 mai à Réo, les Coiffeuses et les Lycéennes provinciales se sont imposées respectivement devant les Dolotières et les Lycéennes municipales.
Au terme d’une finale âprement disputée, la formation du lycée provincial s’est débarrassée de celle du Lycée municipal aux tirs aux tirs au but par le score de 3 buts à 2, tandis que les coiffeuses dans la première finale a étrillé l’équipe des Dolotières par le score sans appel de trois buts à zéro.
Phases de jeu bien enlevées, spectacles plaisants
Après le coup d’envoi donné par les officiels dont l’un des parrains, l’Honorable Bienvenue Bakyono, les éléments des 4 équipes finalistes de cette 9e édition du Tournoi de la solidarité féminine du Sanguié ne se sont pas fait de cadeaux sur le terrain, avec des phases de jeu bien enlevées et des spectacles plaisants, à la grande satisfaction d’un beau monde acquis à leur cause.
En effet populations et autorités de Réo ; représentants et autorités des autres communes du Sanguié ; ressortissants du Sanguié à Ouagadougou et d’autres villes du pays ; élus nationaux et locaux du Sanguié ; encadreurs et supporters des équipes finalistes avaient fait massivement le déplacement.
Aux côtés des parrains l’Honorable Bienvenue Bakyono et le PDG Nébilma Bado, l’on notait entre autres la présence des députés Rodrigue Edasso Bayala et Job Bassané ; du maire de Réo Louis Baziomo qui a livré le mot de bienvenue, du maire de Ténado.
«Toujours avec plaisir»
Outre des trophées, les officiels ont remis aux équipes des coiffeuses et du Lycée provincial des jeux de maillots, des enveloppes.
«La compétition est à sa neuvième édition. C’est vraiment avec toujours plaisir que j’ai accepté d’en être parrain. Félicitations aux différents acteurs qui ont contribué à son succès», a confié l’un des parrain Bienvenue Bakyono.
Par ailleurs, l’une des grandes satisfactions de ces finales de la 9e édition a été sans conteste l’ambiance bon enfant dans lequel elles se sont déroulées, sans débordements, ni incidents malheureux. Tout s’est passé dans la fraternité.
Jean Bazié, De retour de Réo
Burkina Demain