L’Association des femmes de l’ONEA, au regard des turbulences que traverse institution, a organisé, ce jeudi 27 juillet 2023, une séance de prière collective pour le retour de la paix et de la cohésion, au siège de l’Office.
A cet appel, les collaborateurs de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA) ont répondu présents.
Le Coran étant une source de lumière, de pardon, de guérison et de miséricorde, l’imam Sawadogo, représentant de la communauté musulmane de l’ONEA, a commencé la séance de prière par une lecture de quelques versets coraniques. Cette lecture a été suivie de prières d’invocations et d’implorations pour que la paix, la santé et la cohésion sociale règnent au sein de l’ONEA et au Burkina Faso.
Après la communauté musulmane, la communauté catholique de l’ONEA représentée par Monsieur Joachim Sébégo, a également tenue à apporter sa pierre dans la construction d’une paix durable au sein de l’ONEA. A l’entame de son discours, il a demandé à l’ensemble de ses collaborateurs de trouver la force se pardonner les uns les autres et surtout de cultiver la paix, l’amour et la tolérance au sein de l’entreprise. Il a poursuivi son intervention par la lecture de la parole de Dieu pour clore avec des prières d’intercessions pour un cadre de travail harmonieux et le retour de la paix à l’ONEA et au Burkina Faso.
Prenant la parole, le représentant de la communauté évangélique protestante de l’ONEA, a rappelé la nécessité de se confier en Dieu et de se repentir. Il a également formulé des prières de gratitude et de reconnaissance, convaincu que la paix et la cohésion sociale renaitront à l’issue de cette prière. L’homme de Dieu a voulu le remercié en entonnant des chants de célébration.
La représentante de l’Association des femmes quant à elle, a tenu à remercier l’ensemble des collaborateurs d’avoir répondu présents à l’appel. Elle a aussi souhaité que les uns et les autres puissent promouvoir l’unité, le pardon, la tolérance et la paix au quotidien au sein de l’entreprise pour un mieux- vivre ensemble.
Chantal Sanou
Burkina Demain