Idrissa Ouédraogo président, c’est à un nouveau style de régulation de la communication qu’il faudra s’habituer au Conseil supérieur de la communication (CSC). Le nouveau président du CSC a présidé ce lundi matin la cérémonie solennelle de montée des couleurs nationales. Preuve s’il en était, de l’esprit patriotique affirmé qu’il entend imprimer à la régulation de la communication.
«Le drapeau, c’est le symbole du patriotisme commun, résilient et l’hymne national est la réconciliation avec toutes les nations à la conquête de la liberté et du progrès». Ce sont là des propos du nouveau président du Conseil supérieur de la communication (CSC) Idrissa Ouédraogo. Des propos prononcés ce lundi 5 février à l’issue d’une cérémonie solennelle de montée des couleurs nationales. C’est l’un de ses premiers actes majeurs à la tête de l’instance nationale de régulation de la communication publique depuis sa prise de fonction le 1er février dernier, en remplacement de Abdoulazize Bamogo.
Idrissa Ouédraogo a insisté sur le fait que la communication et les médias sont aussi des forces dans le cadre du rayonnement du pays. Comme mot à l’endroit de son équipe, le président Ouédraogo insiste sur l’honnêteté, la bienveillance, la sagesse, souhaitant que les acteurs des médias aient la même vision.
Pour cette cérémonie de montée des couleurs nationales, conseillers, responsables administratifs et personnels du CSC se sont mobilisés pour sacrifier à cet acte de tradition républicaine.
Bernard Bazié
Burkina Demain