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Coupe CAF : Salitas FC qualifié à Conakry pour le prochain tour

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C'est dans la douleur que Salitas FC a arraché son ticket pour l'étape suivante de la coupe CAF

En match retour ce mardi à Conakry, Salitas FC a réussi à se qualifier pour les seizièmes de finale de la coupe de la confédération africaine, malgré la défaite 1-3 face à la formation guinéenne de Wakrya.

C’est dans la douleur que Salitas FC a arraché son ticket pour l’étape suivante de la coupe CAF

Au match aller à Ouagadougou, Salitas FC s’était imposée par 2 buts à zéro. L’ASFB, l’autre représentant burkinabè en coupes africaine, a été éliminée aux tirs au but par le formation de Garoua après une victoire de 3-1 en faveur de l’équipe locale. Au match aller, les joueurs de Bobo s’étaient également imposés 3-1

 

Amidou Traoré

Burkina Demain

Le plan national d’industrialisation au centre d’échanges avec la presse

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Le ministère du commerce, de l’industrie et de l’artisanat a organisé ce mardi 4 décembre 2018 à Ouagadougou, un déjeuner de presse dans le cadre  de la Semaine de l’industrie burkinabè (SIB) qui a déjà débuté hier 3 décembre et qui va se poursuivre jusqu’au 8 décembre prochain sous le thème: «stratégie nationale  d’industrialisation du Burkina Faso : quelle relance pour nos industries locales»

Le ministre du commerce, Harouna Kaboré

C’est dans cette soirée, précisément dans la chambre du commerce et d’industrie du Burkina, sis au centre-ville de Ouagadougou que le ministre du commerce a échangé avec les hommes de média ce mardi 4 décembre 2018.

Pour Harouna Kaboré, ministre du commerce et d’industrie du Burkina, le thème de la semaine de l’industrie burkinabè est d’une grande importance pour notre pays qui vient d’adopter une nouvelle stratégie nationale d’industrialisation, dont l’objectif majeur est de relancer ce secteur pilier de l’économie du Burkina.

S’approprier les nouvelles orientations

L’objectif principal, a-t-il ajouté, est de permettre à tous les acteurs ainsi que l’opinion publique, de s’approprier les nouvelles orientations et politiques du gouvernement en matière d’industrialisation dans notre pays à travers des actions de communication dont une émission télé-débat et un panel, une remise de matériels à des PMI, et une visite d’entreprise.

Il s’agira spécifiquement selon lui:

– de faire ressortir les objectifs, les impacts attendus de cette stratégie nationale de l’industrialisation;

– de mettre en exergue l’impérieuse nécessité de la transformation de nos matières premières agricoles, seule gage d’une sécurité alimentaire;

– encourager la population à consommer les produits locaux burkinabè transformés, etc.

La relance économique industriel se fera à travers une valorisation plus accrues de nos matières premières locales, rassure le ministre.

Régler les questions d’infrastructures

A en croire Harouna Kaboré, la Semaine de l’industrie burkinabè, d’un coût total de 128,050 milliards de francs CFA (hors plan, projet et programmes), elle se décline en cinq axes stratégiques, qui permettront de régler les problèmes d’infrastructures, de soutien à la création et au développement des unités industrielles de toute taille, d’améliorer le cadre juridique, institutionnel et organisationnel de l’appui à l’industrie et enfin de contribuer à l’amélioration de l’effort de financement du secteur.

Autre point relevé au cours des échanges, c’est le nouveau plan adopté et le lancement d’une Web TV dénommée MCIA tv qui va faciliter la communication au sein du ministère.

L’élaboration et l’adoption du Plan d’industrialisation accéléré, estimé à un coût global de 3 423 milliards FCFA, dont 823 milliards de FCFA pour les investissements dans les outils industriels de production et 2600 milliards de FCFA, dans les infrastructures de soutien,  excelle  dans trois filières porteuses que sont les filières bétail-viande, coton-textile, carrière et matériaux de construction, a martelé M. Harouna.

«Je reste convaincu qu’une industrialisation durable d notre économie ne saurait se réaliser que par la mise en place d’infrastructures de qualité et résilientes dans les secteurs porteurs notamment l’énergie, le transport et l’industrie manufacturière», assure le ministre  Harouna Kaboré.

Jean Konombo

Burkina Demain

Extrémisme violent : Des journalistes burkinabè et nigériens en formation à Ouaga

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Une vue des participants à la formation

Le ministère burkinabè de la communication et des relations avec le parlement en partenariat avec le Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique  de l’Ouest et en collaboration avec la commission nationale pour l’UNESCO, ont débuté ce mardi 4 décembre 2018 à Ouagadougou, un atelier de formation sur le renforcement des capacités des médias pour la lutte contre l’extrémisme violent dans la région du Sahel.

La secrétaire générale du ministère de la communication, Hortense Zida, a présidé la cérémonie d’ouverture de la formation

Réunis en atelier de formation depuis ce matin à Pacific Hôtel, à Ouagadougou, des participants venus du Niger et du Burkina Faso ont répondu présent à la formation pour la lutte contre l’extrémisme violent dans le Sahel qui commence ce mardi 4 décembre jusqu’au jeudi 6 décembre 2018.

A en croire Hortense Zida, secrétaire générale du ministère de la communication, les trois institutions vont, par cette formation, contribuer au développement des médias et surtout au renforcement de leurs capacités dans la lutte contre le phénomène.

Synergie d’actions

                

Pour Mme Théodora Taliane, représentante de l’UNESCO, il est nécessaire de renforcer les médias en synergie d’actions pour pouvoir lutter au mieux contre l’extrémisme violent dans la sous-région.

Selon le propos du secrétaire général du ministère de la communication, la communication et l’information constituent des secteurs où la communauté doit faire des efforts, pour, non seulement protéger les différents acteurs, mais également développer des initiatives pour que la collecte et le traitement de l’information donnent des réponses appropriées à la menace protéiforme et diffuse que constitue le terrorisme.

Planifier des atrocités

Les cibles favorites sont surtout les médias sociaux, les communications cryptées et le <dark web> exploitées pour diffuser de la propagande, radicaliser les nouvelles recrues et planifier des atrocités, a précisé Mme Hortense.

Elle continue en indiquant qu’autant il faut reconnaître aux médias leur fort potentiel dans la lutte contre le terrorisme, autant faut-il relever leur vulnérabilité face à des acteurs désireux de les utiliser.

En ajout, elle affirme qu’il est fréquent de voir, notamment sur les réseaux sociaux, des images d’une rare violence massivement relayées par ces mêmes réseaux sociaux et les sites internet qui, dans leur course au scoop, oublient souvent le côté choquant des images véhiculées.

Associer les hommes de médias

Une vue des participants à la formation

A en entendre Ibrahim Moussa, participant venu du Niger, la thématique sur l’extrémisme violent est tellement d’actualité qu’il est important d’associer les hommes de média.

De ses explications, en dehors d’être ceux-là qui couvrent les activités y compris une période de conflits, les journalistes sont aussi ceux-là avec qui le peuple est informé.

Autre chose que l’on doit savoir c’est que tout au long de cet atelier, trois (3) thématiques seront évoquées. Et il s’agit notamment de:

– l’éthique et la déontologie dans le traitement de l’information en cas de conflit. Car pour elle, c’est très problématique de savoir comment traiter les informations sensibles;

– les aspects sécuritaires, c’est-à-dire comment les hommes de médias peuvent travailler avec les forces de l’ordre parce que, explique-t-elle, les forces de l’ordre sont à même de livrer des informations concrètes et spécifiques en fonction des activités sur le terrain pour ne pas entacher les informations qui sont données;

– le renforcement des capacités des médias sur les aspects d’utilisation des réseaux sociau puisque les terroristes passent par le «dark web » et la divulgation  d’infos et d’images très sensibles pour pouvoir susciter la panique au sein des populations.

Responsabilité sociale des journalistes

Plus que jamais, la responsabilité sociale des journalistes et plus généralement des médias, est engagée face à ces actes de terrorisme qui fragilisent nos institutions démocratiques et sèment un climat de psychose et de méfiance au sein de nos populations, déclare Hortense Zida.

«Cet atelier va nous permettre de nous approprier sur comment couvrir les événements en cas d’attaque terroriste, de prise d’otage ou d’un conflit quelconque», foi de M. Ibrahim Moussa.

 

Nicolas Bazié

Burkina Demain                    

Autonomisation de la femme : De nouvelles stratégies adoptées à Ouaga

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En conclave depuis le 30 novembre 2018 dans le pays des hommes intègres, l’OCI vient de terminer ses travaux ce samedi 1er décembre 2018 à Ouagadougou. Fait exceptionnel : Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré était sur place pour apporter toute la caution de la République.

Le président du Faso a assisté à la clôture de l’évènement

C’est dans la soirée de ce samedi 1er décembre 2018  que l’OCI a fait la cérémonie de clôture de la 7e conférence ministérielle  des États membres de l’organisation.

Pour Roch Marc Christian Kaboré, président du Faso, le thème de cette conférence a permis aux différentes parties prenantes de discuter d’une question aussi primordiale dans le développement des États membres de l’organisation et de se l’approprier.

Mettre en avant les femmes

Au cours de cette conférence, 18 résolutions ont été adoptées  dans le cadre de la promotion de la femme. Selon Laurence Ilboudo, ministre de la femme burkinabè, l’objectif de ces résolutions, c’est de mettre en avant les femmes, leur donner de l’opportunité dans tous les domaines afin de  pouvoir évoluer à travers une éducation tout ce qui est scientifiques.

Ces recommandations, a en croire le président du Faso, font ressortir les préoccupations légitimes des actrices et acteurs étatiques sur les stratégies novatrices que nous nous devons de développer pour une optimisation de la contribution efficiente de la femme au développement de notre espace commun.

Tournant qualitatif

Cette conférence marque un tournant qualitatif à la hauteur des aspirations des femmes des États membres de l’OCI, pensée de Roch Kaboré.

Dans ce sens, il encourage donc, chacun (e) dans sa sphère d’activité et de responsabilité, des leaders d’opinions et des acteurs avisés et engagés pour une autonomisation intégrée de la femme dans les États membres de l’institution, car, comme l’on l’a reconnu, c’est seulement à ce prix que nous allons véritablement construire une société juste et équitable, gage d’un développement inclusif et durable.

Nicolas Bazié

Burkina Demain

Autonomisation des femmes : Le Burkina réaffirme son engagement

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Les travaux de la  conférence ministérielle de l ‘Organisation de la coopération islamique (OCI)  sur la problématique de l’autonomisation de la femme, se sont poursuivi ce samedi 1er décembre 2018 à Ouagadougou, avec la cérémonie officielle d’ouverture présidée par le Premier ministre Paul Kaba Thiéba.

Le Premier ministre Paul Kaba Thiéba a présidé la cérémonie officielle d’ouverture de la conférence

Dans son intervention ce 1er décembre à l’ouverture officielle de la  conférence ministérielle de l ‘Organisation de la coopération islamique (OCI)  sur la problématique de l’autonomisation de la femme ; le Premier ministre burkinabé, Paul Kaba Thiéba, a réaffirmé l’engagement  du Burkina Faso dans le processus de l’autonomisation de la femme.

«La femme est le véritable moteur de développement économique et social», a assuré le chef du gouvernement. Pour lui, le développement de tout pays, le bien-être des peuples et la paix dans le monde ne peuvent s’opérer sans la participation de la femme qui représente la moitié de la population mondiale.

Pour Hélène Marie Marshall/Ilboudo, ministre burkinabè de la femme, le Burkina veut marquer sa contribution aux efforts de l’OCI en matière d’autonomisation et de renforcement du rôle de la femme dans le développement des États membres.

Elle continue en indiquant qu’ils veulent travailler à la suite de leurs prédécesseurs pour accélérer la mise en œuvre  d’un plan commun.

Ensemble main dans la main

Les femmes ont besoin d’assumer et d’occuper leur place aux cotés des hommes dans la procédure de l’égalité et de la complémentarité du genre, a martelé le premier ministre.

«Je souhaite qu’ensemble main dans la main nous puissions accélérer la protection et la promotion des enfants et des femmes dans nos États. Le concours de tous et de toutes est capital », a plaidé Mme Ilboudo.

Jean Konombo

Burkina Demain

7e conférence ministérielle de l’OCI: L’autonomisation de la femme au cœur des échanges

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L’Organisation de la coopération islamique (OCI) a tenu ce 30 novembre 2018 à Ouagadougou, sa première journée de la conférence ministérielle sur le rôle de la femme dans le développement. Occasion pour les États membres de cette institution d’offrir aux institutions partenaires l’opportunité de discuter des avancées sur les questions de l’autonomisation de la femme et les politiques du genre dans lesdits États.

Pour marquer sa contribution aux efforts de l’OCI en matière d’autonomisation de la femme et de renforcement de son rôle dans le développement, le Burkina s’est proposé d’abriter en ce jour vendredi 30 novembre 2018, la 7e conférence ministérielles sur le rôle des femmes dans le développement des États membres de l’OCI sous le thème : <Autonomisation de la femme dans les États membres de l’OCI: enjeux, défis et perspectives>

Pour ce qui concerne le Burkina Faso, indique la ministre burkinabè de la femme, de la solidarité nationale et de la famille, Marie Laurence Marshall/Ilboudo, la politique nationale genre qui se veut transversale a été adoptée en 2009. Elle couvre, poursuit-elle, une période de dix ans (2009-2019) et s’opérationnalise à travers des plans d’actions triennaux glissants.

Progrès significatifs

Selon elle, les membres de l’OCI ont enregistré des progrès signicatifs dans le domaine de l’équité de genre et de l’autonomisation des femmes à tous les niveaux.

Ainsi, à titre illustratif, sur le plan éducatif, Mme Marshall souligne que les pays membres ont fait un bond spectaculaire en matière d’accès des filles à l’enseignement primaire.

A en croire Marie Laurence, il est de notoriété publique qu’octroyer les mêmes droits et les mêmes chances aux individus, leur permet de déployer leur potentiel de matière optimale. C’est pourquoi selon elle, la question de l’implication de la femme dans toutes les sphères de développement est inscrite au cœur  de l’agenda de l’OCI.

Les objectifs les plus importants pour l’OCI, c’est de combattre toutes sortes de violence faites aux femmes et de pouvoir offrir des opportunités de travail et d’affaires à celles-ci de tous les niveaux à travers la formation et le renforcement des capacités afin d’offrir des opportunités d’investissements dans les petites et moyennes entreprises pour que ces femmes-là soient indépendantes et autonomes, a précisé le secrétaire général de l’OCI, Hesham Youssef.

Amélioration du bien-être des femmes

Les résultats auxquels nous parviendrons au sorti de cette conservation contribueront, j’en suis sûre, à l’amélioration du bien-être des femmes, pensée de Laurence Ilboudo.

Autre point de cette conférence, c’est la nomination de la ministre de la femme Burkinabè comme présidente de la 7e conférence ministérielle de l’OCI.

A entendre la ministre burkinabè de la famille, le Burkina Faso est fier et honoré d’avoir pris la présidence de cette 7e conférence ministérielle. Elle va continuer en indiquant que < nous avons aujourd’hui le potentiel et la qualité. Il faudrait maintenant selon elle, amener plus de femmes à être autonomes et à prendre également conscience qu’elles sont elles-mêmes actrices dynamiques du développement.

Nicolas Bazié

Burkina Demain

Banque mondiale : 100 millions de dollars pour un programme d’urgence au Burkina

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Ce communiqué de presse est relatif à une approbation par la Banque mondiale ce 29 novembre 2018, d’un don de 100 millions de dollars américains en faveur du Burkina Faso pour le financement d’un programme d’urgence.

«COMMUNIQUE  DE  PRESSE

Burkina Faso : la Banque mondiale approuve un programme d’urgence de 100 millions de dollars

WASHINGTON, le 29 novembre 2018—La Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un don équivalent à 100 millions de dollars américains en faveur du Burkina Faso pour le financement des dépenses récurrentes. Il s’agit d’un don de l’Association internationale de développement (IDA), le fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres. 

Le Projet d’urgence pour le financement des dépenses récurrentes, va aider le pays à faire face à une série de crises, toutes liées à la recrudescence de l’insécurité dans les zones du Nord, du Sahel et de l’Est, et qui ont limité la marge de manœuvre budgétaire déjà étroite des pouvoirs publics. Le projet vise d’une part à renforcer la capacité du gouvernement en matière de sécurité alimentaire en reconstituant la réserve de céréales et d’autre part à assurer la continuité des prestations de services de base dans la santé et l’éducation dans les régions affectées par la crise.

Ce Projet qui vient compléter des initiatives déjà existantes à l’instar du Programme d’urgence pour le Sahel du gouvernement burkinabé, permettra aux élèves résidant dans les zones en crise de poursuivre leurs études, et aux femmes et enfants, de continuer à bénéficier des soins de santé.

« L’approbation de ce financement par notre Conseil d’administration démontre une fois de plus la volonté et la détermination de la Banque mondiale, à renforcer son partenariat avec le Burkina Faso pour l’atteinte des objectifs fixés dans son Plan national de développement économique et social (PNDES). Ce Projet d’urgence vient à point nommé car il est conçu pour répondre de manière holistique aux défis auxquels ces régions du pays font face, afin de renforcer leur résilience », a déclaré Cheick Kanté, responsable des programmes de la Banque mondiale pour le Burkina Faso.

« Cette opération innovante et multi-sectorielle apportera un appui capital au gouvernement pour faire face aux multiples crises que le Burkina Faso traverse. Grâce à une confiance mutuelle et la mise en place de dispositifs exceptionnels, tant de la part des équipes du gouvernement que celles de la Banque mondiale, le projet a pu être préparé en un temps record » ont expliqué les chargés du projet Veronique Kabongo et Michel Maellberg»

Contacts :                          

À Ouagadougou : Lionel Yaro, (226) 25 49 63 00, lyaro@worldbank.org    

Pour en savoir plus sur les activités de la Banque mondiale au Burkina Faso, rendez-vous sur :

http://www.banquemondiale.org/fr/country/burkinafaso

Pour en savoir plus sur l’IDA : http://ida.banquemondiale.org/

Conseil des ministres du 29 novembre 2018

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Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le jeudi 29 novembre 2018, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 13 H 00 mn, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres.

Le Conseil a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.

I.DELIBERATIONS

I.1. AU TITRE DE LA REFORME DES INSTITUTIONS ET DE LA MODERNISATION DE L’ADMINISTRATION, LE CONSEIL A ADOPTE  CINQ (05) RAPPORTS.

I.1.1. Pour le compte du ministère des Affaires étrangères et de la coopération

  • un rapport relatif à une demande d’agrément pour la nomination de Monsieur Andrea ROMUSSI en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Italienne au Burkina Faso avec résidence à Ouagadougou (Burkina Faso).

Cette nomination permettra de renforcer la coopération entre les deux pays.

Le Conseil a accédé à la requête du Gouvernement italien.

I.1.2. Pour le compte du ministère de l’Administration territoriale et de la décentralisation :

  • un rapport relatif à l’organisation du centenaire de la création du Burkina Faso (ex Haute-Volta).

Le Conseil a instruit les ministres en charge du dossier de prendre les mesures nécessaires en vue d’une commémoration réussie de ce centenaire (1919-2019).

I.1.3. Pour le compte du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation :

  • un décret portant organisation de l’Enseignement supérieur au Burkina Faso.

L’adoption de ce décret permet de corriger les insuffisances liées à l’application du décret n°2008-645/PRES/PM/MESSRS du 20 octobre 2008 portant organisation de l’Enseignement supérieur.

Il définit les principes qui fondent l’enseignement supérieur et le met en phase avec les exigences mondiales.

I.1.4. Pour le compte du ministère de l’Education nationale et de l’alphabétisation :

  • un rapport relatif au Programme d’alphabétisation/formation en faveur des adolescents, jeunes et adultes (PAFAJA).

Ce programme qui couvre la période 2019-2024 vise à terme, le renforcement des capacités et les compétences des populations à travers une alphabétisation d’envergure. Il s’agira d’améliorer le taux d’alphabétisation de la population de 18 ans et plus et de récupérer les enfants non scolarisés ou déscolarisés pour une alphabétisation accélérée en vue de leur transfert à l’enseignement formel.

I.1.5. Pour le compte du ministère du Développement de l’économie numérique et des postes :

  • un décret portant changement de dénomination de la Société nationale des postes (SONAPOST).

L’adoption de ce décret consacre la nouvelle appellation de ladite société en «  La Poste Burkina Faso » en abrégé « La Poste BF » dans le cadre de la modernisation de cette société d’Etat et de la diversification de ses produits soutenues par une intégration accrue des technologies de l’information et de la communication.

I.2. AU TITRE DU DEVELOPPEMENT DU CAPITAL HUMAIN, LE CONSEIL A ADOPTE

Pour le compte du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation :

– un décret portant création d’un emploi à l’Université Ouaga II.

L’adoption de ce décret permet la création d’un emploi de Maître-assistant à l’Université Ouaga II.

II.COMMUNICATIONS ORALES

II.1. Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération a fait au Conseil une communication relative à la visite du Président du Faso, Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE du 16 au 23 novembre 2018 au Japon.

Au cours de son séjour nippon, le Président du Faso s’est entretenu avec les plus hautes autorités du Japon sur des sujets relatifs au renforcement de la coopération bilatérale. Il a également tenu des rencontres avec des chefs d’entreprises et des partenaires au développement.

Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE a présidé le premier forum économique Burkina Faso-Japon. Il a par ailleurs  rencontré les Burkinabè vivant dans ce pays.

II.2. Le ministre de la Femme, de la solidarité nationale et de la famille a fait au Conseil une communication relative à la tenue de la 7éme session de la conférence ministérielle des ministres en charge de la question du genre dans les Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).

Cette conférence, placée sous le thème : « Autonomisation de la femme dans les Etats membres de l’OCI : enjeux, défis et perspectives » se tiendra du 30 novembre au 1er décembre 2018 à Ouagadougou.

II.3. Le ministre de la Culture, des arts et du tourisme a fait au Conseil le point des préparatifs de la 26ème édition et de la célébration du cinquantenaire du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO).

Cette 26ème édition associée à la célébration du cinquantenaire du FESPACO, prévue pour se tenir du 23 février au 02 mars 2019 est placée sous le thème : « Confronter notre mémoire et forger l’avenir d’un cinéma panafricain dans son essence, son économie et sa diversité ».

II.4. Le Secrétaire général du Gouvernement et du Conseil des ministres a fait au Conseil une communication relative à l’organisation des journées portes ouvertes du Journal officiel du Faso qui se tiendront les  06 et 07 décembre 2018 à Ouagadougou sous le thème : « Rôle et place du Journal officiel du Faso à l’ère du numérique : enjeux, défis et perspectives ».

L’organisation de ces journées portes ouvertes permettra à la population de prendre connaissance des missions assignées au Secrétariat général du Gouvernement. Ces journées sont placées sous le très haut patronage de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres.

III. NOMINATIONS

III.1. NOMINATIONS DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES

A.AU TITRE DE LA PRESIDENCE DU FASO

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL (CES)

  • Monsieur Missa MILLOGO, Mle 52 372 C, Professeur certifié des lycées et collèges, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Chargé de Missions ;
  • Monsieur Zézouma Serge SANOU, Mle 247 241 T, Conservateur d’archives, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Chef de Département de la Documentation et des publications ;
  • Monsieur Karzoum Eugène SONDO, Mle 238 576 P, Conseiller des affaires économiques, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Chef de Département de l’orientation économique, des finances et de la conjoncture.

A.AU TITRE DU PREMIER MINISTERE

  • Monsieur Lazare TARPAGA, Mle 30 505 D, Contrôleur général de Police, 15ème grade, 2ème échelon, est nommé Directeur de la coordination interministérielle au Secrétariat général de la Défense nationale.
  • C.AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE ET DE LA DECENTRALISATION :
  • Monsieur Windnonguéma Emmanuel Bruce SAWADOGO, Mle 200 366 C, Administrateur civil, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur général des libertés publiques et des affaires politiques ;
  • Monsieur Sougrinoma Bruno DIPAMA, Mle 01 2016 AN, Juriste-gestionnaire, 2ème classe, 10ème échelon, est nommé Directeur général du Fonds permanent des collectivités territoriales.

 D.AU TITRE DU MINISTERE DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT :

  • Monsieur Baki Madou TRAORE, Mle 254 970 T, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur de la programmation et du suivi-évaluation à la Direction générale de l’eau potable ;
  • Madame Waogawendé Sara OUBDA/ILBOUDO, Mle 254 978 V, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 3ème échelon, est nommée Directrice de l’approvisionnement en eau potable ;
  • Monsieur Yenoupoa SOGLI, Mle 53 854 A, Administrateur financier des services de santé, est nommé Directeur de l’administration et des finances de l’Agence de l’eau du Gourma ;
  • Monsieur Moussa ILBOUDO, Mle 200 248 J, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur de l’administration et des finances de l’Agence de l’eau du Nakambé ;
  • Monsieur Mamoudou TRAORE, Mle 289 074 E, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’Eau et de l’assainissement des Banwa.
  • E.AU TITRE DU MINISTERE DE LA FEMME, DE LA SOLIDARITE NATIONALE ET DE LA FAMILLE :
  • Monsieur Seydou SOULAMA, Mle 130 401 U, Magistrat, 1er grade, 1er échelon, est nommé Conseil technique ;
  • Madame Marie Honorine TAPSOBA/BAGRE, Mle 25 421 E, Administrateur des affaires sociales, 1ère classe, 14ème échelon, est nommée Inspecteur technique des services ;
  • Madame Ravigsida Dorcas TIENDREBEGO, Economiste, est nommée Directrice générale du Fonds d’appui aux activités rémunératrices des femmes (FAARF) ;
  • Monsieur Soumèla SAKHO, Mle 46 405 C, Inspecteur d’éducation spécialisée, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Responsable du « Programme enfance et famille » cumulativement avec ses fonctions de Directeur général de l’encadrement et de la protection de l’enfant ;
  • Madame Timpoko Alphonsine SAWADOGO/OUEDRAOGO, Mle 35 804 R, Administrateur des affaires sociales, 1ère classe, 8ème échelon, est nommée Secrétaire permanente du Conseil national de lutte contre la pratique de l’excision (SP/CNLPE) ;
  • Monsieur Réléoindé Silvain ZOUNGRANA, Mle 81 952 B, Inspecteur d’éducation de jeunes enfants, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Chef du Département de la formation, du plaidoyer et de la communication au Secrétariat permanent du Conseil national pour l’enfance ;
  • Monsieur Cheick Zakir NAON, Mle 229 691 B, Contrôleur des services financiers, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Chef du Département de l’Administration et des finances du Secrétariat permanent du Conseil national multisectoriel pour la protection et la promotion des droits des personnes handicapées (SP-COMUD/H) ;
  • Monsieur Emmanuel OUEDRAOGO, Mle 237 921 T, Conseiller d’éducation féminine, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur du renforcement des capacités des femmes à la Direction générale de l’autonomisation économique de la femme;
  • Monsieur Gombila René Hugues SANKARA, Mle 222 818 E, Conseiller d’éducation féminine, est nommé Directeur des statistiques sectorielles ;
  • Monsieur Abdoulaye OUEDRAOGO, Mle 47 736 W, Inspecteur d’éducation de jeunes enfants, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur provincial de la Femme, de la solidarité nationale et de la famille du Bam ;
  • Monsieur Raymond PARE, Mle 239 393 J, Administrateur des affaires sociales, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial de la Femme, de la solidarité nationale et de la famille du Koulpélogo ;
  • Monsieur Jean Bertrand BAOUAR, Mle 237 915 Z, Conseiller d’éducation féminine, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial de la Femme, de la solidarité nationale et de la famille du Loroum.

F.AU TITRE DU MINISTERE DE LA CULTURE, DES ARTS ET DU TOURISME

  • Monsieur Bamassa OUATTARA, Mle 226 406 T, Administrateur des services touristiques, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur général de la Semaine nationale de la culture (SNC) ;
  • Monsieur Souleyman Nelson CONGO, Mle 75 045 E, Enseignant, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur général de l’Office national du tourisme burkinabè (ONTB) ;
  • Madame Rasmata SAWADOGO, Mle 238 171 Z, Conservateur-restaurateur de musée, 1ère classe, 3ème échelon, est nommée Directrice générale du Musée national ;
  • Monsieur Mamoudou NAMOUNTOUGOU, Mle 216 683 Z, Conservateur-restaurateur de musée, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur régional de la culture, des arts et du tourisme du Centre ;
  • Monsieur Gouinkouni Bernard SABA, Mle 216 713 G, Conseiller des affaires culturelles, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur régional, de la culture, des arts et du tourisme du Plateau-Central ;
  • Monsieur David KINDA, Mle 225 857 F, Assistant des affaires culturelles, 1ère classe, 1er échelon, est Directeur provincial de la culture, des arts et du tourisme du Sanmatenga.

G.AU TITRE DU MINISTERE DES SPORTS ET DES LOISIRS

  • Monsieur Zinguim Hermann YABRE, Mle 46 459 F, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Secrétaire général ;
  • Monsieur Kissassida Hubert ZOUNGRANA, Mle 35 997 Z, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur régional des sports et des loisirs du Plateau-Central ;
  • Monsieur Ferdinand KABORE, Mle 46 481 X, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur régional des sports et des loisirs de l’Est ;
  • Monsieur Akiouélé Christophe IDOGO, Mle 218 645 B, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur régional des sports et des loisirs du Centre-Ouest ;
  • Monsieur Moussa KONDE, Mle 25 814 M, Professeur certifié des lycées et collègues, 1er grade, 9ème échelon, est nommé Directeur régional des sports et des loisirs des Cascades ;
  • Monsieur Sibidi SEGHDA, Mle 32 276 M, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 8ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Boulgou ;
  • Monsieur Boukary SAVADOGO, Mle 217 119 A, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Boulkiemdé ;
  • Monsieur Moussa DIABATE, Mle 119 274 Y, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de la Comoé ;
  • Monsieur Albert DAKISSAGA, Mle 217 110 B, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de la Gnagna ;
  • Monsieur Germain BOUGOUMA, Mle 237 913 B, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Gourma ;
  • Monsieur Seydou KABORE, Mle 117 250 M, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Houet ;
  • Monsieur Germain SAWADOGO, Mle 207 661 T, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Kadiogo ;
  • Monsieur Guillaume Félix PARE, Mle 311 867 Y, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de la Komondjari ;
  • Monsieur Toundoubson Dramane KAFANDO, Mle 327 610 A, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de la Kompienga ;
  • Monsieur Aboubacar DAO, Mle 277 448 T, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de la Léraba ;
  • Monsieur Boubié Alberic BASSIE, Mle 237 987 J, Maître d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Loroum ;
  • Monsieur Oumarou ZONGO, Mle 277 445 V, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Mouhoun ;
  • Monsieur Urbain BAMOGO, Mle 111 519 A, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Nahouri ;
  • Monsieur Moussa ILBOUDO, Mle 94 672 H, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Namentenga ;
  • Monsieur Yakouba OUEDRAOGO, Mle 94 689 D, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de l’Oubritenga ;
  • Monsieur Fadouga MOMO, Mle 311 868 M, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de l’Oudalan ;
  • Monsieur Sayouba OUEDRAOGO, Mle 217 126 C, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Poni ;
  • Monsieur Adama DRABO, Mle 227 629 U, Professeur certifié d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Sanmatenga ;
  • Monsieur Ibrahim KABRE, Mle 210 957 F, Maître d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Séno ;
  • Monsieur Ambroise OUANGRE, Mle 327 612 P, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Soum ;
  • Monsieur Tégawendé Jean KABORE, Mle 304 327 U, Maître d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Yagha ;
  • Monsieur Dapouguida Hugues DIABRI, Mle 94 674 K, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Yatenga ;
  • Monsieur Ousmane NONG-NOGO, Mle 237 912 N, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs du Zondoma.

III.2. NOMINATIONS DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION

Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs et de Présidents aux Conseils d’administration :

  • de l’Université Nazi BONI, au titre du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation ;
  • de la Société de gestion de l’équipement et de la maintenance biomédicale (SOGEMAB), du Centre hospitalier universitaire de Tingandogo et du Centre hospitalier régional de Tenkodogo au titre du ministère de la Santé ;
  • de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC), de la Société burkinabè de télédiffusion (SBT) et de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB) au titre du ministère de la Communication et des relations avec le parlement ;
  • de la Société de gestion de l’Abattoir frigorifique de Ouagadougou (SOGEAO) au titre du ministère du Commerce, de l’industrie et de l’artisanat ;
  • du Comité national de lutte contre la piraterie (CNLPOLA) et du Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA), au titre du ministère de la Culture, des arts et du tourisme.

La liste de ces nominations sera publiée dans le Journal Officiel du Faso.                                                        

Le Ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement, Porte-parole du gouvernement,

 

Rémis Fulgance DANDJINOU,

Officier de l’ordre national

 

 

Ligue africaine des champions : L’ASFB s’impose 3 à 1 face au coton soude Garoua

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A domicile, les joeurs de l'ASFB ont su s'imposer. Reste à aller transformer l'essai à Garoua

Les Fonctionnaires  de Bobo-Dioulasso ont battu le coton sport de Garoua 3 à  1 en match aller des préliminaires de la ligue des champions africains. Cétait ce mardi 27 novembre 2018 au stade Sangoulé Lamizana de Bobo-Dioulasso. Une victoire méritée pour les poulains de Oscar Barro . Les jaunes et noirs tenteront de se qualifier la semaine prochaine en match retour à Garoua au Cameroun.

A domicile, les joeurs de l’ASFB ont su s’imposer. Reste à aller transformer l’essai à Garoua

Les buffles se Bobo réalisent une bonne option en imposant 3 buts à 1 face aux camerounais de coton sport de Garoua.

Ce sont les camerounais de coton qui ouvre le score à la 33e de jeu, sur un coup franc de coton sport mal renvoyé  par la défense de l’ASFB. L’attaquant de coton sport, Moussa Kalamou inscrit le premier but de la rencontre.

Un but qui réveille les poulains de Oscar Barro.  Sami Hien réussit l’égalisation sur corner à la 35e minutes. Les buffles mettent le pied sur le ballon mais n’arrivent pas à prendre l’avantage sur leurs adversaires du jour. C’est donc sur le score de 1 but partout que les 2 équipes rentrent aux vestiaires.

Les tentatives de réactions en seconde période des joueurs ont été vaines

En seconde période, les camerounais de coton sport tentent de réagir. Mais c’est l’ASFB qui réussit à passer devant au score. Sami Hien inscrit son doublé à la 63e. À la 69e minute, Arnaud Sanou sur une passe de Cheick Djibril Ouattara inscrit le 3e but des buffles. L’ASFB tentent d’inscrire le 4e but mais Cheik Djibril Ouattara Butent sur le portier camerounais.

3 à 1, c’est le score final de cette rencontre. Un bon résultat pour Oscar Barro et ses garçons. Les jaunes et noirs sont désormais motivés pour aller chercher la qualification dans une semaine (les 4, 5 décembre) du côté du Cameroun.

Sotouo Justin Dabiré/ Bobo

Burkina Demain

7e conférence OCI : Les éclairages de la ministre Laurence Marshall Ilboudo

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La ministre Laurence Marshall Ilboudo a livré des informations sur la 7e conférence ministérielle de l'OCI

Le ministère de la femme, de la solidarité nationale et de la famille a organisé ce mardi 27 novembre 2018 à Ouagadougou, une conférence de presse dans le cadre de la 7ème conférence ministérielle de l’organisation de la coopération islamique (OCI) qui sera abriter par le Burkina Faso les 30 novembre et 1er décembre 2018 sous le thème : «Autonomisation de la femme dans les Etats membres de l’OCI: enjeux, défis et perspectives ».

La ministre Laurence Marshall Ilboudo a livré des informations sur la 7e conférence ministérielle de l’OCI

C’est dans la matinée de ce mardi 27 novembre 2018 que la ministre de la femme a échangé avec les hommes et les femmes de médias dans la capitale burkinaabè. Objectif : éclairer les lanternes des journalistes sur la 7ème conférence ministérielle de l’organisation de la coopération islamique (OCI).

Selon la ministre burkinabé de la femme, Marie Laurence Marshall/ Ilboudo, l’OCI, créée en 1969, se présent comme l’une des plus grandes organisations intergouvernementales regroupant 57 États dont le Burkina Faso.

Donc, poursuit-elle, l’institution, pour mener à bien ses missions, a élaboré un programme d’action décennal 2016-2025 qui se décline en dix-huit (18) domaines prioritaires parmi lesquels l’autonomisation de la femme, occupe une place importante.

Des progrès significatifs

Pour madame Ilboudo, les États membres de l’OCI ont réalisé des progrès significatifs pour améliorer l’égalité des sexes, l’équité de genre et l’autonomisation des femmes à tous les niveaux.

Dans cette optique , elle a pris comme exemple le domaine de l’éducation où elle souligne qu’au Burkina le taux de scolarisation des filles et des garçons à l’école primaire, se situe respectivement à 86,4% et 85,9%  pour l’année scolaire 2015-2016.

Droit fondamental de la femme

En ajout, elle a indiqué que les pays membres de ladite  organisation ont créé un environnement juridique et institutionnel favorable à la reconnaissance des droits fondamentaux de la femme.

A en entendre Laurence Marshall, il y’a d’énormes défis qui restent à relever car, pour elle, les inégalités de genre, les préjugés et les violences faites aux femmes persistent et constituent un frein au développement socio-économique des États.

Dans cette conférence ministérielle prochaine, <les participants identifieront les principaux obstacles et challenges auxquels sont confrontées les femmes dans les États membres et partageront leurs expériences en vue de formuler des recommandations spécifiques sur la mise en oeuvre du plan d’action de l’institution pour la promotion de la femme>

Il est important et capital de mutualiser nos efforts, partager les expériences parce que nous avons les mêmes problèmes, a martelé la ministre Ilboudo.

Pour conclure, Mme Ilboudo a appelé le Burkina Faso à mettre aussi sa pierre à l’édiffice pour un monde de paix où les hommes et les femmes ont une équité et une justice sociale.

Jean Konombo

Burkina Demain