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L’artiste slameur engagé 2Kavas présente son nouvel album

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L’artiste slameur Somnoma Kébré alias 2kavas dans ses oeuvres

L’artiste slameur Somnoma Kébré alias 2kavas, a soumis à l’appréciation du public et des journalistes son nouvel album le mercredi 25 avril 2018. C’est un album entièrement slam emprunt de thèmes engagés et parfois de sensibilisation. En attendant la sortie officielle prévue pour bientôt, l’artiste s’est mesuré à cette occasion devant son public en jouant en live.

Somnoma Kébré alias 2kavas, un slameur engagé

Le showbiz burkinabè vient d’enregistrer dans la catégorie des slameurs un nouvel artiste, 2Kavas. Son slam, il ne le fait pas seulement en combinant des mots. Il leur donne un sens et un rythme.

Pour une première sortie, il fallait assurer et rassurer ce public venu lui apporter son soutien. En effet, cette soirée qui avait une allure de sortie officielle d’album, était en réalité une présentation des titres du prochain album de l’artiste 2kavas.

Selon l’artiste, cette soirée avait deux objectifs. « Présenter mon prochain album, et évaluer ma prestation devant un public tout en jouant en live ». Ainsi, face  au public de l’une des boîtes de nuit les plus en vogue du moment de la capitale burkinabè, à savoir Ouaga VIP, 2Kavas à égrener 6 titres de son prochain album.

Plusieurs thèmes sont abordés dans cet album. On note des titres de sensibilisation par exemple sur le Sida, dans lequel l’artiste invite les jeunes à ne jamais « forget le latex » (oublier le préservatif ndlr) car il y va de leur vie.

L’artiste slameur Somnoma Kébré alias 2kavas dans ses oeuvres

L’artiste invite aussi les africains à la nécessité de retours aux valeurs et traditions africaines. Ses compositions dit-il sont « influencées par des structures de luttes authentiques ». C’est surement pour cela que dans un des titres il affirme que « j’ai tellement appris la langue de Molière que je ne comprend plus la langue de mon père », et pour lui, il faut pallier à cette insuffisance. Pour le prouver, l’artiste  nous a confié que « je préfère depuis un moment mon prénom Somnoma ».

L’artiste chante également l’amour à travers son titre deux en un. C’est un chant dans lequel il magnifie la femme. Dans ce titre l’artiste confie s’être beaucoup inspiré du titre Abiba de l’artiste Kezy qui par ailleurs est un de ses fanatiques.

Plusieurs d’autres artistes étaient de la partie, pour apporter leur soutien a l’artiste. Il s’agissait de Kezy, de Frei la slameuse aux pieds nus, de Fush Alpha, de Almamy KJ, de Dja Aris, de Mrty Prince et L’Verbe.

Notons que 2Kavas est professeur de français et a été demi finaliste au jeu concours ‘’je slam pour ma patrie’’.

 Jaochim Batao

Burkina Demain

Le complot du ministre de la jeunesse avec les femmes

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Smaila Ouagadougou,ministre de la jeunesse, de la formation et de l’insertion professionnelles

Une vidéo circule sous les manteaux dans la région du Nord. Vos journalistes du web ont mettre la main sur une copie. En réalité,  c’est une vidéo qui met en vedette le ministre de la jeunesse, de la formation et de l’insertion professionnelles, Smaila Ouagadougou.

Smaila Ouagadougou,ministre de la jeunesse, de la formation et de l’insertion professionnelles

L’homme du Yatenga ne mâche pas ses mots. Il dénonce la confiscation du pouvoir politique par les hommes au soir des scrutins. Ces hommes aux bouches mielleuses à l’approche des échéances électorales sont des loups garous dans la confection des listes électorales.

En dépit de la loi sur le quota genre, les femmes sont moins de 30% dans les pouvoirs exécutif, législatif et communal. Une injustice inacceptable pour le patron de la cérémonie du 8 mars célébré en différé le samedi 28 avril 2018 à Titao. Pour corriger cette injustice, le ministre Smaila Ouédraogo demande aux femmes d’arracher leur pouvoir. Ce sont elles qui accouchent.

Ce sont elles qui votent le plus. Par conséquent, la responsabilisation des femmes à hauteur de 30% devient non négociable. Le ministre de la jeunesse, de la formation et de l’insertion professionnelles, Smaila Ouédraogo, met le doigt là où ça fait très mal. Les femmes burkinabè ont désormais un allié de taille pour leur meilleure représentativité dans les sphères de décision.

DS

Fête du travail : le message de l’UNIR/PS

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Ceci est un message  de l’Union pour la renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS) à l’occasion de la fête internationale du travail.

«MESSAGE DE L’UNIR/PS A L’OCCASION DE LA FETE DU TRAVAIL

Aujourd’hui, 1er mai 2018, notre pays à l’instar de bien d’autres nations à travers le monde commémore la Journée Internationale du Travailleur (JIT).

En effet, les origines de la fête du travail remontent à 1872 lorsque les travailleurs ont demandé pour la première fois une semaine de travail plus courte. Plus de 140 ans plus tard, ces efforts sont toujours honorés grâce à l’engagement des travailleurs envers des normes d’emploi rigoureuses. De nos jours, la fête du Travail se veut une occasion de rendre hommage à la contribution des travailleurs envers nos collectivités et notre économie. C’est également l’occasion pour les travailleurs de demander aux  dirigeants de meilleures conditions de vie et de travail.

A cette occasion d’introspection, l’Union pour la renaissance/ parti sankariste (UNIR/PS)  adresse ses vives et chaleureuses félicitations aux laborieux travailleurs du Burkina Faso.

Cette année, la commémoration du 1er– Mai  se déroule dans un climat de relative paix sociale sur fond de dialogue entre les acteurs sociaux et le gouvernement.

Ainsi, l’UNIR/PS souhaite que les  cadres de concertation initiés par le gouvernement en intelligence avec les acteurs du monde du travail parviennent à surmonter les tensions sociales consécutives aux revendications souvent légitimes des travailleurs.

L’UNIR PS  en tant que parti révolutionnaire est plus que jamais attaché au travail pour tous les burkinabé afin de valoriser le savoir-faire de chacun, de promouvoir le vivre  ensemble et l’affection patriotique inaltérable.

C’est pourquoi l’UNIR/PS  félicite les travailleurs  pour leur  sursaut patriotique  et encourage le gouvernement à privilégier au quotidien le dialogue et à rester à l’écoute des besoins d’amélioration des conditions de vie des travailleurs, gage de  l’apaisement du climat social.

A tous les travailleurs, femmes et hommes, des villes et des campagnes du Burkina Faso, des secteurs public et privé, bonne fête du travail !

Bonne fête de l’espérance à tous les chômeurs et déflatés burkinabé

Bonne campagne agricole à tous les travailleurs paysans du Burkina Faso

Pas un pas sans le Peuple !

Avec le Peuple, victoire !

 Fait à Ouagadougou, le 1/05/ 2018»

 Pour l’UNIR/PS

Le secrétaire national chargé de l’information et de la communication

Le camarade Issaka OUEDRAOGO

Commémoration du 1er mai : le message de l’UPC

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Ceci est un message de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) à l’occasion de la commémoration, ce 1er mai, de la Journée internationale du travail.

«Message de l’UPC à l’occasion de la fête du travail 2018

A l’instar des autres pays, le Burkina Faso célèbre ce mardi 1er mai 2018, la 132èmefête internationale du travail.

A l’ensemble des travailleurs, aux employeurs et aux organisations syndicales, l’UPC souhaite une bonne fête.

Pour notre parti, le gouvernement doit saisir l’occasion du 1er mai pour instaurer enfin un dialogue sincère et fécond avec les organisations de travailleurs, dans le but d’apaiser le climat social.

En ce jour dédié au travail, l’UPC a une pensée à l’endroit de ceux qui ont perdu leurs emplois, et ceux qui attendent d’intégrer le monde du travail. Il appartient aux dirigeants de notre pays de créer des conditions d’emplois stables et décents pour les citoyens, surtout les jeunes. Du reste, cela fait partie des engagements de campagne du Président Roch Marc Christian KABORE.

La crise du travail a un lien avec l’insécurité auquel notre pays fait face. Il nous faut donc affronter cette crise avec détermination et méthode.

Excellente fête de travail à toutes et à tous ! »

Pour le Bureau politique national de l’UPC,

Le Porte-parole,

Rabi YAMEOGO

NTD :Soutien réaffirmé à Kaboré et cap sur 2020 !

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A l'issue de ce 2e congrès, Vincent Dabilgou (ci-devant) a été reconduit à la présidence du NTD

Le Nouveau temps pour la démocratie (NTD) a tenu  ce samedi 28 avril 2018 à Ouagadougou, son 2e congrès ordinaire. A l’issue de ce  2e congrès ordinaire Vincent Dabilougou rebelote comme président à la tête du nouveau bureau exécutif.

A l’issue de ce 2e congrès, Vincent Dabilgou (ci-devant) a été reconduit à la présidence du NTD

Si le présent congrès ordinaire a été l’occasion pour le Nouveau temps pour la démocratie (NTD) de réaffirmer son soutien au programme du président Roch Marc Christian Kaboré, la formation de Vincent Dabilgou, reconduit président, en a profité pour faire une revue de ses troupes et mettre le cap sur 2020, année électorale.

« Nous voulons aller loin. Pour ce faire, il faut s’organiser. L’organisation est la base et le fondement même d’un parti politique. Poser les fondements de notre processus organisationnel pour nous implanter partout au Burina Faso», a martelé Vincent Dabilgou.

Là-dessus, le thème du congrès était on ne peut plus clair : « L’ancrage du NTD dans les communes, quelles stratégies en matière d’organisation et de mobilisation ?».

Comme quoi, le NTD reste une force politique avec laquelle il faut  et faudra compter dans ce Burkina Faso en pleine agitation politique dans la perspective des échéances électorales de 2020.

Mariam Sangaré

Burkina Demain

Commission climat du Bassin du Congo : L’accord d’institutionnalisation signé à Brazza

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Photo de famille des chefs d'Etat ayant participé à ce 1er sommet sur le fonds bleu pour le Bassin du Congo

Le 1er sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Commission climat du Bassin du Congo et du Fonds bleu pour le Bassin du Congo a débouché sur la signature du protocole d’accord portant institution de la Commission climat du Bassin du Congo.

Photo de famille des chefs d’Etat ayant participé à ce 1er sommet sur le fonds bleu pour le Bassin du Congo

Ce sommet qui a porté sur la mise en œuvre du Fonds bleu pour le Bassin du Congo a été, selon le chef de l’Etat congolais, le moment «de rendre effectif le fonctionnement de la commission climat du Bassin du Congo et du fonds bleu pour le bassin du Congo».

C’est pourquoi, à la clôture des travaux, chaque président des pays membres du Bassin du Congo a apposé sa signature sur le document portant institutionnalisation de la Commission climat du Bassin du Congo.

Bien avant la signature dudit protocole d’accord, les dix chefs d’Etat, qui ont honoré de leur présence, le sommet de Brazzaville, ont réfléchi sur les moyens d’opérationnaliser la commission climat du Bassin du Congo et le Fonds bleu pour le bassin du Congo.

2 instruments de lutte contre les changements

Les termes et les dispositions sur l’opérationnalisation de ces deux instruments de lutte contre les changements climatiques et de promotion du développement durable (Commission climat du Bassin du Congo et Fonds Bleu pour le Bassin du Congo) sont contenus dans ce document paraphé par les chefs d’Etat et de Gouvernement présents dans la capitale congolaise.

A l’ouverture des travaux, le président de la commission climat du Bassin du Congo, le congolais Denis Sassou-N’Guesso a souligné les grands défis qui restent à relever pour rendre effectif le fonctionnement de la commission climat du bassin du Congo et du fonds bleu pour le bassin du Congo.

«Malgré l’envergure et la complexité des défis, en ma qualité de président de la Commission climat du bassin du Congo, je ne ménagerai aucun effort dans l’application par notre zone de l’accord de Paris sur le climat», a déclaré Denis Sassou-N’Guesso, pour qui le projet de budget soumis à l’ attention des pays du Bassin du Congo « répond de la nécessité et de l’urgence de promouvoir un partenariat international à l’avantage de la commission climat du bassin du Congo et du fonds bleu pour le bassin du Congo»

L’appel du chef de l’Etat congolais à ses pairs africains

Le chef de l’Etat congolais a appelé ses pairs africains  à plus de responsabilité ; car « la densité de notre engagement se mesurera aussi à l’envergure de nos financements du démarrage des activités de la commission climat du bassin du Congo ».

Aussi, a-t-il invité les pays du Bassin du Congo a la responsabilité parce que, a-t-il relevé, « notre engagement se mesurera aussi à l’envergure de nos financements du démarrage des activités de la commission climat du bassin du Congo », avant de renouveler son appel aux partenaires financiers, afin qu’ils tiennent leurs promesses et accompagnent les pays du Bassin du Congo dans la réponse qu’elle  apporte à la mise en œuvre des défis en présence.

Réunion de Brazzaville capitale, selon Mohamed VI

Sa  Majesté Mohamed VI, Roi du Maroc a déclaré que la réunion de Brazzaville a  sonné comme une urgence pour tous, avant de préciser : «elle est capitale pour notre continent, elle l’est également pour l’humanité toute entière, car elle est l’expression d’une prise de conscience collective, des effets dévastateurs du réchauffement climatique pour la planète. »

L’union africaine a pris, également, une part active au sommet de Brazzaville. Le président en exercice de l’Union africaine, Paul Kagame et le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faaki  Mahamat, ont tour à tour exprimé leur soutien à la Commission climat du Bassin du Congo et au Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Paul Kagamé a remercié son homologue congolais pour « avoir apporté ce grand sujet pour de grands résultats». Moussa Faaki  Mahamat, quant à lui, a promis nommer un conseiller en charge des questions environnementales pour gérer, notamment les projets comme le Fonds Bleu pour bassin du Congo et la Commission climat de la région du Sahel.

L’appel du président gabonais aux partenaires  

Le président gabonais, présent au sommet a lancé un appel pressant aux partenaires, aux ONGs, aux secteurs public et privé à soutenir la démarche de durabilité qui a été engagée à Brazzaville.

Les dix chefs d’Etat qui ont pris part au sommet de Brazzaville sont, outre le Roi du Maroc, Mohammed VI, sont : Paul Kagamé du Rwanda, président en exercice de l’Union Aficaine, Mahamadou Issoufou du Niger, Faustin Archange Touadera de la RCA, Ali Bongo Ondimba du Gabon, Joao Lourenço de l’Angola. La Guinée Equatoriale a été également représentée par son président, TheodoroObiangNguema, alors que le Sénégal l’a été par le biais du Président MackySall. Le président EvaristoCarvhalo du Sao-Tomé a également répondu à l’invitation de son homologue congolais.

Wilfrid Lawilla/Brazzaville

Burkina Demain

Politique burkinabè : le PUR officiellement dans l’arène !

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Le landerneau politique burkinabè s’est agrandi le samedi dernier avec la naissance d’une nouvelle formation politique, les Progressistes unis pour le renouveau (PUR). A l’issue de l’assemblée générale constitutive, c’est le sociologue Wahir Justin Somé qui a été désigné président de ce nouveau parti d’obédience sankariste.

Voulant affichant leur sankarisme, les membres du parti PUR porté sur les fonts baptismaux,  ont fait  le serment «d’incarner dans (leur) comportement les valeurs d’éthique et d’intégrité, de cultiver la compétence et l’amour du travail bien fait, faire preuve d’un dévouement exclusif à l’intérêt général».

Mais, contrairement à ce qui se disait, c’est le sociologue Wahir Justin Somé, ex-secrétaire national à la planification de l’UNIR/PS, qui a été porté à la tête du PUR, en lieu et place d’Alexandre Sankara, pressenti géniteur de la formation politique. Si M. Sankara était bien là dans la salle, en revanche son nom n’a figuré nullement sur la liste des 23 membres du bureau exécutif du PUR. D’ailleurs,  sur cette question de l’appartenance d’Alexandre Sankara au PUR, le président Somé s’est voulu on ne peut plus clair : il est de l’UNIR/PS dont il est le député à l’Assemblée nationale et ne saurait être membre du PUR.

Naturellement, la nouvelle formation politique doit se préparer déjà à aller à la conquête des futures échéances électorales, notamment la présidentielle de 2015.

Mathias Lompo

Burkina Demain

Adoption de la Constitution de la 5e République : Le comité de veille du CNT pour la voie référendaire

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Un groupe d’anciens députés du Conseil national de la transition réuni au sein du Comité de veille parlementaire du Conseil national de la transition (CV/CNT) était face à la presse le 25 avril dernier. Ils ont dénoncé ce qu’ils qualifient de mépris du gouvernement dans l’adoption de décret d’application sur la loi portant statut de pupille de la nation. Ils ont aussi affirmé leur préférence pour l’adoption de la nouvelle Constitution par voie référendaire.

La loi n°62/CNT portant statut de la pupille de la nation votée sous la transition peine à être mis en application pour absence de décret d’application. C’est cet état de fait qu’a dénoncé le Comité de veille du CNT, le mercredi dernier face aux journalistes au centre national de presse Norbert Zongo.

En effet cette loi consacre la prise en charge des ayants droits de l’insurrection populaire, du putsch de septembre 2015 et de toute autre situation où des Burkinabè sont tombés au nom de la nation.

Le porte-parole du Comité David Moyenga a expliqué qu’il s’agit de « la reconnaissance de l’Etat vis-à-vis des personnes décédées au nom de la nation ». Avant de faire constater que « malheureusement cette disposition souffre d’ineffectivité » et cela « au grand dam des enfants mineurs qui ont besoin du soutien social de l’Etat au nom du sacrifice suprême consenti par leurs parents défunts ». a-t-il fait remarquer.

A entendre Wilfried Zoundi, membre du comité, le gouvernement Kaba ne doit pas se déroger à l’obligation de prendre des décrets pour opérationnaliser cette loi, au nom de la continuité de l’Etat. Pour lui, le « contexte de terrorisme avec son bilan humain de plus en plus lourd» devrait amener l’Etat à vite agir sur ce dossier.

«le peuple ne doit pas être privé de son droit au referendum»

Sur la question de la voie d’adoption de la nouvelle constitution, Zoundi, se fondant sur plusieurs dispositions légales pense qu’il ne devrait pas y avoir de débat. «La voie référendaire est la meilleure car étant l’expression démocratique par excellence » à t-il déclaré. Aussi, dit-il l’article 194 du projet de constitution a acté de façon consensuelle pour le référendum. Et de conclure que « toutes les constitutions adoptées au Burkina Faso l’ont été par voie référendaire ».

Au regard de ces arguments, et sans doute des concertations entreprises par le chef de l’Etat Roch marc Kaboré avec les acteurs politiques sur la voie d’adoption de la nouvelle constitution David Moyenga, le porte-parole du comité de veille se veut clair.  « Les acteurs politiques ne doivent en aucun cas virer dans une entente entre eux, et priver le peuple de son referendum légitime », prévient-il.

Joachim Batao

Burkina Demain

Kundé : Tous les lauréats de l’édition 2018

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Awa Boussim, la grande lauréate de Kundé 2018, tenant son Kundé d'or aux côtés des officiels dont l'épouse du président du Faso

Le Kundé 2018 s’est achevé ce vendredi 27 avril à Ouagadougou avec le sacre d’Awa Boussim. 15 prix dont 10 spéciaux et 5 secondaires, ont été décernés au total. Voici la liste complète des lauréats aussi bien pour les officiels que les prix spéciaux :

Awa Boussim, la grande lauréate de Kundé 2018, tenant son Kundé d’or aux côtés des officiels dont l’épouse du président du Faso et du ministre de la Culture, Abdoul Karim Sango

PRIX OFFICIELS

– Kundé d’or
AWA BOUSSIM

– Kundé du meilleur artiste traditionnel
HABIBOU SAWADOGO

– Kundé du meilleur artiste de musique religieuse.
ADAMA SIMON KOLOGO

– Kundé de la meilleure chanson moderne d’inspiration traditionnelle
Korégoré (HAWA BOUSSIM)

– Kundé de l’artiste le plus joué en discothèque
IMILO LECHANCEUX

– Kundé du meilleur clip vidéo
Korégoré (HAWA BOUSSIM)

– Kundé de la révélation
EUNICE GOULA

– Kundé de l’espoir
EUNICE GOULA

– Kundé du meilleur featuring burkinabè
Zida ne va plus au Zoo (ASKOY Feat SMARTY)

– Kundé du meilleur artiste féminin
HAWA BOUSSIM

PRIX SPECIAUX

-Kundé du meilleur artiste burkinabè de la diaspora

ADELE ROUAMBA (France)

-Kundé du meilleur artiste étranger vivant au Burkina

WEEZY (Nigéria)

-Kundé du meilleur artiste de l’Afrique de l’Ouest

SIDIKI DIABATE (Mali)

-Kundé du meilleur artiste de l’Afrique centrale

DAPHNE (Cameroun)

– Kundé du meilleur featuring de l’intégration africaine

La copine à mon Ex (DUDEN-J, MALIKA/BF feat NASH/RCI)

Burkina Demain

ONEA : Baisse de pression, voire coupure à Ouaga, suite à une fuite d’eau

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Une fuite d’eau sur la conduite sur la conduite d’amenée d’eau de Ziga intervenue ce samedi 28 avril 2018, a entraîné une baisse de pression voire coupure d’eau dans la ville de Ouagadougou et environnants. C’est la teneur du présent communiqué de presse de l’Office national de l’eau (ONEA).

« Communiqué

Fuite d’eau sur la conduite d’amenée d’eau de Ziga, le samedi 28 avril 2018 : Baisse de pression voire coupure d’eau dans la ville de Ouagadougou et environnants.

L’ONEA informe son aimable clientèle de la ville de Ouagadougou et environnants qu’il effectue des travaux de réparation d’une fuite d’eau intervenue dans la nuit du 27 au 28 avril 2018 sur la conduite d’amenée d’eau de Ziga alimentant une grande partie de la ville de Ouagadougou.
Des baisses de pression, voire des coupures d’eau seront constatées du samedi 28 au dimanche 29 avril 2018.
L’ONEA invite par conséquent son aimable clientèle de la ville de Ouagadougou et environnants à faire des réserves minimales d’eau pour la durée de cette perturbation.
Chers clients, l’ONEA vous remercie de votre compréhension et vous renouvelle ses sincères excuses pour les désagréments que cette situation pourrait causer.
L’ONEA à votre service ! »

Le département communication